Un éveil permanent

J’ai lu à la suite La couleur de l’émoi, D’encre et d’encore, et Elle neige,  et j’ai eu du mal à en sortir. Il y a des livres que l’on voudrait ne jamais terminer. Tellement, dans chacun d’eux, la présence au monde est multiforme, chatoyante, d’une richesse infinie. Un éveil permanent. Chaque page est un poème, un instant d’éternité, dans toute son intensité, sa diversité, sa profondeur.

 

Une lectrice

Marcelle Darras