Dès la première lecture, j’ai aimé cette Loire en symbiose avec ce qui l’entoure, vive et indocile, froissée chiffonnée dans les variations de son tissu de surface (on le voit on l’entend), mais aussi visiblement prête à prendre la mouche.
Resté sur le piqué enflammé du martin-pêcheur, flamboiement éphémère mais prégnant comme chaque mot de ces poèmes, j’y replonge.
Michel Guyomard