J’ai lu Elle neige dans le métro. Il y a, il me semble, du Marie Ndiaye, le coté onirique.
J’ai été bercé par les mots, le coté cotonneux, ça m’a bien apaisé.
Il y avait un jeune de 25 ans, qui a lu une page par-dessus mon épaule, et il m’a regardé en me disant “Putain c’est beau !”, c’était un type qui voulait faire du théâtre.
J’ai été un peu dérouté par votre histoire, le réel qui rencontre la fiction, le personnage qui entre dans le livre (…) Une histoire sur la solitude des êtres qui voudraient retomber sur terre (ou sur mer) pour y imprimer leur vies (…) Ça m’a parlé.
Vos mots nous bercent, nous entourent.
Au plaisir de vous lire.
Franck, un lecteur