Je viens de terminer la lecture du « récit poétique » de Cypris Kophidès. J’ai été très touchée de vivre de « l’intérieur » le quotidien d’une exilée, avec des mots si justes et si beaux à la fois pour parler de l’exil.
Il faudrait que tous ceux qui parlent froidement des réfugiés ou pire veulent les renvoyer chez eux sans aucun « état d’âme » le lisent.
Peut-être retrouveraient-ils la capacité à se mettre à la place des « autres » et le minimum d’humanité qui nous manque tellement.
Fabienne Serbah Le Jeannic