Gérard Bessière connaît “son” lendemain car il l’a dans sa foi

Lorsque le temps s’arrête sur le seuil d’un jour improbable, nous avons tous un regret et un espoir. Marcher encore, faire quelques pas hésitants dans les les sillons de ce temps avare, essayer un sourire sur de lèvres qui se serrent sur un lendemain inconnu.

 

Gérard Bessière connaît “son” lendemain car il l’a dans sa foi, prêt à le surprendre dans l’au-delà, où, peut-être, nous sommes tous attendus.

 

“Des racines en la terre

Jusqu’à la moindre feuille

Avide de lumière

Pourquoi ce long parcours ?” (p. 27)

 

Long oui, et on ne peut pas le raccourcir. Encore moins le rallonger. Alors, pourquoi Il se tait ? Ne méritons-nous pas un mot encourageant de sa part ?

Je sais : c’est moi qui suis sourde !

 

Bluma Finkelstein