J’aime énormément ces Vingt-deux petits soleils.
Malgré la grande érudition qui se trouve derrière, Cypris Kophidès arrive à garder le ton d’un conte pour enfants, même si on sent toujours présente la profondeur d’un esprit mûr et réfléchi.
Il y a une douce mélancolie qui s’en dégage, avec une nostalgie pour ce monde disparu, et pourtant toujours vivant, en l’autrice et en nous.
Eugène Green