Je trouve les homélies de Gérard Bessière très belles. Les exégèses sont très fines, et la langue est belle, une langue où on sent l’énergie de l’incarnation orale, mais qui reste littéraire.
Par ces qualités, et les références à des éléments culturels non théologiques, et souvent contemporains, elles me rappellent celles de José Tolentino Mendonza, le prêtre portugais qui est maintenant directeur de la Bibliothèque vaticane.
EUGÈNE GREEN
décembre 2018