Iris (la narratrice), Barnabé et l’amour, enfin ce qu’elle pense identifier comme son amour.
Un amour qu’elle veut partout, dans les corps, dans son corps, dans la nature, dans les sons…
Un éveil permanent. Un réveil absolu.
Alors elle marche pour mieux appréhender, sentir, ressentir, comprendre. Dans les mots ou le silence.
Le corps et la tête ressentent ces éclats d’amour et ces émotions.
Puis Barnabé part et « on ne rentre pas de Barnabé. » alors il faut marcher, « … il n’y rien à atteindre, il y a à cheminer. », dans le silence et dans la solitude pour mieux entretenir cet amour.
Un court texte à l’écriture raffinée et maîtrisée véritable ode au triptyque corps, amour et émoi.
« Les rides ont l’avantage de l’histoire et de la beauté du vécu. »
Max Buvry
Librairie Vaux Livres