Quel immense livre !
J’ai tourné hier soir la dernière page des Vingt-deux petits soleils toujours dans l’admiration de l’écriture fascinante et du vocabulaire si riche.
Cypris Kophidès nous emmène bien loin dans le mystère du monde et dans celui que nous vivons, chacun d’entre nous : que d’univers…
Gérard Bessière