LA MIJAURÉE D’AUGUSTE C.

Elisabeth LAUREAU-DAULL
paru le 07/03/2024

115× 175 mm, 144 pages
978-2-37203-057-1

16,00 €

J’ai rencontré, l’an passé, une jeune dame à l’esprit distingué pour qui, depuis, j’éprouve une passion, a-t-il préludé, sa main dessinant dans l’espace une hyperbole infinie. Sans cette passion, je serais un piètre philosophe. Je ne saurais pas ce qui meut l’humanité, je ne saurais pas que l’amour est la raison suffisante du monde, je

– On s’égare, on s’égare. Les faits, Auguste, rien que les faits, s’il te plaît ! Quand ? Où ? Comment ?

 

Auguste, c’est Auguste Comte, le père du positivisme, qui prôna un impératif catégorique : aimer l’humanité et concourir à son bonheur et à sa prospérité.

Le personnage hors normes et pathétique qu’il fut est au centre de cette fiction intense et rythmée, où l’on voit se rejoindre, dans une bouleversante sororité, Caroline Massin la femme qu’il a épousée et Clotilde de Vaux qu’il aime éperdument…

LAUREAU-DAULL Elisabeth
21/04/24

Une jolie leçon de philosophie…

  Et l’illustre Auguste Comte s’éprit d’une mijaurée…   Après La jument de Socrate et L’Ombre s’est épaissie, Elisabeth Laureau-Daull revient avec […]

16/04/24

A lire absolument !!!

Un bijou ! La Mijaurée d’Auguste C, nouveau roman de Elisabeth Laureau-Daull raconte dans une langue ciselée Auguste Comte pris […]

26/03/24

Ces 140 pages, fort bien écrites, se lisent à toute allure.

Qui aurait soupçonné que le lugubrement sérieux Auguste Comte aurait trouvé l’inspiration de son Catéchisme positiviste dans les jupons de Clotilde de […]

14/03/24

Une puissante évidence et d’une simplicité qui donnent au livre une grande hauteur

Atmosphère ! Atmosphère !   Voici un livre où l’atmosphère l’emporte sur le narratif (ce qui est rare car difficile). […]

10/03/24

L’occasion de redécouvrir le père du « positivisme »

Lit-on encore Auguste Comte, sans doute le philosophe et sociologue français le plus important du XIXe siècle ?   Élisabeth Laureau-Daull […]

10/03/24

Chacun des personnages est vrai et touchant

Que voilà un titre habile ! J’ai tout de suite été happée : quel rapport pouvait-il y avoir entre l’austère […]